Le projet DYNOBA financé par l’AFD et coordonné par l’OIEau ouvre la voie à une collaboration renforcée pour les organismes de bassin transfrontaliers du continent africain.

Le projet DYNOBA financé par l’AFD et coordonné par l’OIEau ouvre la voie à une collaboration renforcée pour les organismes de bassin transfrontaliers du continent africain.
L’atelier de présentation du projet DYNOBA a réuni ce jeudi 02 novembre un groupe diversifié de participants, y compris des experts en gestion de l’eau, des spécialistes environnementaux, des juristes et financiers, et d’autres responsables du Haut-commissariat de l’OMVS à Dakar. Il a été présidé par le Haut-commissaire de l’OMVS, M. Mohamed Abdel Vetah. Cet événement a ouvert un dialogue essentiel sur la manière de dynamiser le soutien aux organismes de bassin opérant sur des cours d’eau partagés en Afrique. Le projet DYNOBA, lancé pour favoriser la « Dynamisation des Appuis aux Organismes de Bassin Transfrontaliers en Afrique, » est une initiative de grande envergure qui vise à promouvoir la coopération régionale en matière de gestion de l’eau. Les cours d’eau transfrontaliers sont essentiels pour le développement de l’Afrique, mais ils sont souvent confrontés à des défis liés à la gestion des ressources en eau, à la pollution et au changement climatique. Au cours de l’atelier, M. Christophe Brachet de l’OIEau , Chef du projet DYNOBA, a souligné l’importance de la collaboration régionale. Il a déclaré : « Nous sommes réunis pour vous présenter un projet important qui concerne l’avenir de la gestion des ressources en eau transfrontalières en Afrique. Les cours d’eau ne connaissent pas de frontières, et pour faire face aux défis qui se posent, nous devons travailler main dans la main. » L’atelier a offert un espace de discussion ouvert et informel, où les participants ont posé diverses questions sur la mise en œuvre du projet et les résultats attendus. Les sujets abordés comprenaient aussi la gouvernance du projet, la prise en compte de la question eaux souterraines, de la qualité de l’eau, et l’importance de la participation communautaire.
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